Le chicon, la délicatesse bruxelloise d'antan ! Ensemble, nous apprendrons un peu plus sur l'origine du chicon et découvrirons comment cet « or blanc » si particulier est cultivé, bien entendu en pleine terre ! Après avoir plongé dans l'histoire de ce légume, il sera temps de mettre les mains dans la terre. Nous planterons ensemble les racines de chicorée, à partir desquelles apparaîtront de jolies petites têtes de chicon. Vous repartirez avec votre propre kit de forçage qui vous permettra de récolter votre première chicon chez vous et... mmmm... de le déguster !
Infos pratiques
- Quand : dimanche 16 novembre, de 14 h à 16 h.
- Où : Labo du BOIS.
- Prix : 31 €.
- Prix pour les Amis du Jardin botanique : 27 €.
- La langue véhiculaire est le néerlandais, mais Arnout, le formateur, parle également couramment le français et l'anglais.
Que recevez-vous ?
- Un atelier pratique, ludique et instructif.
- Un kit de forçage complet avec de la terre et 12 racines dans un sac réutilisable en géotextile qui peut également être utilisé pour vos plantes d'été ou votre prochaine culture de chicon
Que faut-il emporter ?
- Apportez un grand sac à provisions ou un caddie pour transporter votre kit de chicon (sac géotextile rempli de terre et 12 racines de chicorée) jusqu'à chez vous.
Important !
- Arrivez bien à l'avance au Jardin botanique, car il faut compter 15 minutes à pied depuis l'entrée principale pour rejoindre la salle du Labo du BOIS où se déroule le workshop.
- Ne manquez pas l'occasion de découvrir également les chicons et la chicorée sauvage (Cichorium intybus) dans le Jardin culinaire !
Bon à savoir ! Le chicon trouve son origine… au Jardin botanique !
Il y a près de 200 ans, alors que le Jardin botanique se trouvait encore à Bruxelles, le jardinier en chef Frans Bresiers découvrit la culture du chicon. Dans les caves du « Botanique », il fit des expériences avec l'obscurité, la chaleur et l'humidité, ce qui permit la formation de chicons à partir de racines de chicorée. Le chicon fit son apparition sur le marché bruxellois en 1867, puis dans les Halles de Paris en 1883. Aujourd'hui, les agriculteurs de la périphérie flamande continuent de cultiver fièrement le chicon, tant en pleine terre qu'en hydroculture.
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